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EVRAS : Une analyse sans passion...

L'EVRAS est-il ou non la tête de pont des LGBTX ? L'épanouissement affectif et sexuel des enfants est-il le but de ce projet où dissimule-t-il quelque chose de plus obscur et ténébreux ?

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Alain Colignon

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Sep 22, 2023

Il court sur l'EVRAS des rumeurs excessives qui nuisent aux propos de ceux qui s'inquiètent légitimement de ce préoccupant sujet.
Non, l'OUPS ne va pas apprendre la masturbation aux enfants de 6 ans ! De tels bruits ne peuvent avoir été lancés que par des individus malveillants dont l'objectif est clairement de discréditer le point de vue de ceux que la lecture très objective du Guide pour l'EVRAS inquiète au plus hait point.

Certes, on peut envisager qu'il soit légitime d'aborder certains sujet relatifs à la sexualité dans l'enseignement primaire et secondaire, mais les programmes de ces "formations" doivent être définis par des spécialistes compétents.

Même si un collège pluridisciplinaire doit présider la conception d'un guide comme celui de l'EVRAS, il est totalement anormal que ses termes en soient fixés sans qu'un seul médecin et qu'un seul enseignant aient pris part au débat.

A contrario, l'EVRAS compte des partenaires inquiétants comme "Alter Visio", organisation de jeunesse LGBTQIAP+ et O'Yes qui ne cache pas sa complaisance aux mouvements altersexuels. C'est d'autant plus inquiétant que le Guide pour l'EVARS insiste abondamment et lourdement sur la nécessité que l'enfant, quel que soit son âge, prenne conscience que son sexe génétique n'est pas nécessairement celui qui assurera son plus grand "confort" et qu'il doit être informé des procédures qui lui permettent de changer de sexe.
Schématiquement, il faut considérer l'EVRAS comme l'arme de ceux qui veulent en finir avec une société hétéronormative et qui l'utilisent pour lancer un plaidoyer européen et même mondial en faveur du transsexualisme.

Bien sûr, tout individu respectueux des droits humains doit reconnaître le droit des LGBTX de vivre paisiblement dans une société tolérante, mais il est inconséquent de considérer que la cellule familiale traditionnelle constituée d'un couple "H" amoureux entouré de ses propres enfants ne serait plus la norme d'une société progressiste et moderne.  

Il est totalement anormal que l'Ordre des Médecins n'ait pas pris position en rappelant que la transsexualité est un domaine médical et que le fait d'influencer des enfants, à grande échelle sur ce sujet, relève de la pratique illégale de la Médecine.

Je vous conseille sur ce point la lecture du site internet du docteur Frédéric Goaréguer (Sauvons nos enfants) fort complet sur la question.

Le Conseil de l'Ordre Universel se réunira publiquemeent (probablement le 19 novembre 2023) pour lancer sur l'EVRAS, un débat qui aurait dû précéder le vote du projet au parlement et qui aboutira à la publication d'une circulaire qui sera adressée à l'Ordre National des Médecins.
Dans ce cadre, l'O.U.P.S. fait appel à tous les témoignages relatifs à l'EVRAS. Enseignants, parents d'élèves, psychologues, pédo-psychiatres, sont sollicités pour nous faire part de leur expérience négative comme positive relative à l'EVRAS.

Seront chargé de conduire ce débat :
Le docteur Frédéric Goaréguer
Le docteur Alain Colignon
Emmanuel Herbin, professeur exclus
Philippe Frainière de Police pour la Vérité







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